Conakry, 29 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a reçu, au palais de la Colombe, une délégation de la coordination nationale et de l’association de soutien des acquis du CNRD, dirigée par son coordinateur national, M. Keleti DOUMBOUYA.

La délégation, composée de femmes coordinatrices régionales, préfectorales et communales, est venue remercier le Premier ministre pour son engagement aux côtés de la coordination, puis lui réitérer son soutien indéfectible aux actions salvatrices du Président de la République.

La porte-parole de l’association, Hadja Mariama Ciré CAMARA, a, dans son discours, rappelé que depuis dix mois, la coordination est engagée dans un vaste programme d’orientation politique, de mobilisation et de sensibilisation citoyenne en faveur des acquis du CNRD.

Ces femmes coordinatrices ont aussi saisi l’occasion pour confier une lourde responsabilité au Premier ministre, en lui remettant une clé symbolique, à utiliser pour ouvrir toutes les portes et soutenir le Général Mamadi DOUMBOUYA partout en Guinée.

Le Chef du Gouvernement, dans son allocution, a rassuré qu’il transmettrait au Chef de l’État la démarche entreprise par la coordination à travers l’ensemble du territoire national depuis onze mois.

Il a ensuite promis de remettre la clé au Président de la République : « En lui disant, c’est la clé du futur… Avec cette clé, les portes sont ouvertes pour le processus dans lequel, dans les prochains mois, la Guinée va s’engager… » a-t-il rassuré.

 

Conakry, 26 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a reçu les lauréats guinéens de la dictée P.G.L., tenue récemment au Canada.

Introduits par le Ministre de l’Éducation nationale, M. Jean Paul CEDY, Mohamed Traoré du Groupe Scolaire “Les Écureuils” et Fatoumata Barry du Groupe scolaire La ‘’Lumière” ont respectivement occupé les 1ère et 3ème places du classement mondial dans leur catégorie.

Le Chef du Gouvernement leur a réaffirmé son soutien, avant de leur transmettre le message de félicitations du Chef de l’État et de tout le Gouvernement pour l’exploit qu’ils viennent d’accomplir au nom de la Guinée.

Le Président des écoles privées de Guinée, M. Abdoul Hady DIALLO, a souhaité l’accompagnement de l’État, du Ministère de l’Éducation ainsi que de tous les partenaires passionnés par l’éducation guinéenne. Car, selon lui, cela permettra à la Guinée de ne pas perdre ses talents.

« Le défi de l’Association guinéenne des écoles privées, désormais, c’est comment ouvrir encore d’autres opportunités à des élèves qui sont dans les villages, dans les préfectures et dans les régions», a-t-il révélé.

Le Ministre de l’Éducation, M. Jean Paul CEDY a rappelé que la réussite de ces jeunes, au-delà de leur accomplissement personnel et de celui de leur structure éducative, est aussi celle de la Guinée : « C’est la résurgence d’une Guinée qui se fait confiance. »

Pour lui, ces enfants n’ont pas simplement réussi grâce à leurs connaissances, mais aussi grâce à l’encadrement, à la confiance en soi et à la formation qu’ils ont reçue pour atteindre ces résultats : « Nous nous sentons légitimes à célébrer avec eux… Ils ont permis à l’école guinéenne d’être évaluée sur les faits. Quel que soit le pourcentage, ils restent des élèves du système éducatif guinéen, et nous sommes fiers d’eux », dit-il.

 

Fria, 23 mai 2025 – C’est avec une forte délégation de techniciens et de fils ressortissants que le Premier ministre s’est rendu au chevet des victimes de la forte tempête qui a sinistré la cité de l’alumine à 150 km au nord de Conakry.

Accompagné de la ministre des Postes, des télécommunications et de l’économie numérique, du Commissaire général du port autonome de Conakry et du Directeur général de l’Agence nationale de la gestion des urgences et catastrophiques humanitaires (ANGUCH), Amadou Oury BAH à traduit à la notabilité et aux populations de Sombori, compassion et la solidarité et du Président de la République, Général Mamadi Doumbouya et du Gouvernement.

Cette visite a permis au Chef du Gouvernement de mesurer l’ampleur des dégâts dans les 13 quartiers de Fria depuis le passage du vent violent, le 11 mai dernier: 805 ménages affectés, 17 infrastructures scolaires et postes de santé décoiffés, 4 mosquées soufflées, des bâtiments privés et autres édifices publics détruits.

Pour les populations d’une ville enviée de tous, il y a encore 30 à 40 ans, la vie devient dramatique.
“En 1984, Fria était une belle ville fleurie. Aujourd’hui j’ai le cœur triste par rapport à la situation de Fria” témoigne le Premier ministre, aux autorités locales et citoyens mobilisés à la place publique.

Dans l’urgence, le gouvernement “ nous allons privilégier tout ce qui impacte au quotidien des populations et à la vie scolaire” a rassuré le Chef du gouvernement.

En dépit des efforts de l’Etat qui ont permis de stabiliser la desserte en électricité, Fria a presque tout perdu de ses privilèges de cité industrielle moderne: eau potable, voiries urbaines, infrastructures sportives, logements sociaux, mosquée centrale, tout est en décadence.

Dans la perspective d’accompagner la ville à se relever, le Premier ministre demande un rapport exhaustif de la situation à présenter au Président de la République en vue des décisions urgentes.

Ville minière par excellence, Fria a des difficultés d’investissement. Le Premier ministre a publiquement exprimé son étonnement d’apprendre que cette collectivité ne bénéficie pas du Fonds de Développement Économique Local (FODEL).

En attendant de cerner la question, il promet de revenir dans la cité “d’ici un mois pour avoir une meilleure connaissance des réalités locales”.

Enfin, après un tour des édifices et ménages sinistrés, Bah Oury a invité les représentants de l’administration publique et des collectivités locales à réhabiliter “la Loi Fria” et à mobiliser les populations pour planter des arbres. Sous l’effet destructeur de l’homme, la ville sur le bowal, en bordure du fleuve Konkoure a progressivement perdu ses barrières naturelles de protection contre les intempéries. Une vaste campagne de reboisement s’impose.

 

Conakry, 22 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Amadou Oury BAH, a présidé la cérémonie d’ouverture de la 42ᵉ session ordinaire du Conseil des ministres du Conseil africain et malgache pour l’enseignement supérieur (CAMES), dans un complexe hôtelier, en présence de personnalités issues du monde universitaire, institutionnel et diplomatique.

Cette session ordinaire représente une opportunité stratégique pour les pays membres du CAMES de s’engager dans des discussions visant à harmoniser les systèmes éducatifs, à améliorer la qualité de l’enseignement supérieur et à promouvoir la reconnaissance mutuelle des diplômes.

Le Secrétaire général du CAMES, M. Souleymane KONATÉ, a, dans son discours, exprimé la gratitude de la communauté universitaire et scientifique des 19 États membres au Chef de l’État pour son soutien permanent à l’organisation panafricaine d’intégration académique. Selon lui, la Guinée a fait un choix fort et stratégique en fondant son développement sur un système d’enseignement supérieur et de recherche de qualité, à travers le développement d’une relation de confiance mutuelle avec le CAMES.

Le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, M. Alpha Bacar BARRY, a noté dans son discours que ces quatre dernières années, la Guinée et le CAMES se sont fait confiance en favorisant la tenue, en Guinée, de plusieurs sessions de haut niveau de respectueuses organisations panafricaines d’excellence académique, à travers le département de l’Enseignement supérieur.

« En 2022, la tenue de deux réunions statutaires des comités consultatifs généraux a permis des orientations stratégiques du CAMES et de renforcer la collaboration entre les pays membres. En 2024, la tenue de la 22ᵉ session du concours d’agrégation du CAMES, couvrant les disciplines de la médecine humaine, pharmacie, odontologie, production animale, etc. Cet événement a rassemblé 370 candidats issus de 13 pays membres, évalués par 34 jurys composés de 179 membres. La Guinée a enregistré 19 lauréats sur 22 candidats présentés ».

Le Premier ministre, saluant l’action du CAMES en faveur de l’harmonisation des systèmes d’enseignement supérieur et de recherche sur le continent, a rappelé que durant ces dernières années, il a constaté, à travers le continent, un réveil à saluer dans le domaine de la recherche scientifique et de l’innovation, ainsi que l’émergence de talents qui s’illustrent avec les nouvelles technologies.

Pour lui, cet effort doit être accentué et doit nous permettre d’être en phase avec l’évolution du monde du savoir. À cet effet, il a salué « une Afrique unie dans la quête de l’excellence, de l’innovation et de la compétitivité académique ».

M. Amadou Oury BAH a souligné que le CAMES doit être un accélérateur du développement en reliant la connaissance à l’action, la recherche à la production : « c’est dans cette optique que la Guinée a engagé, sous la direction du Chef de l’État, le megaprojet SIMANDOU2040 », précise-t-il.

Ce projet vise à faire de l’exploitation minière un levier de développement multisectoriel : « Pour accompagner cette ambition, nous avons conçu le programme SIMANDOU ACADEMY, qui bénéficiera de 20% des recettes fiscales du projet SIMANDOU pour financer la formation des compétences de hauts niveau… » a-t-il ajouté.

 

Conakry, 21 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a présidé la cérémonie de célébration en différé de la Journée mondiale des télécommunications et de la société de l’information, à l’initiative de l’Union internationale des télécommunications (UIT), édition 2025.

Placée sous le thème : « L’égalité des genres dans la transformation numérique », cette journée constitue un moment de réflexion collective sur le chemin parcouru, les progrès enregistrés et les engagements à renouveler pour un développement numérique inclusif, souverain et durable.

Prenant la parole, la Représentante résidente du système des Nations Unies en Guinée a rappelé qu’à ce jour 2,6 milliards de personnes ne sont toujours pas connectées, et les femmes et les filles sont les plus nombreuses parmi elles. Selon elle, cette fracture numérique de genre se traduit en disparités d’accès à Internet, de compétences et de représentation dans les métiers du numérique : « Combler ce fossé n’est pas seulement une question d’équité, c’est un impératif de développement durable »

Elle a réitéré la volonté du système des Nations Unies de rester mobilisé et disposé à travailler avec le Gouvernement guinéen afin de tirer pleinement parti des opportunités offertes par le numérique : « Un numérique sans inclusion est une innovation inachevée. »

Pour sa part, la Ministre des Postes, des Télécommunications et de l’Économie numérique a insisté sur la portée du thème retenu cette année, qu’elle qualifie d’appel à la vigilance et à l’action, face à une exclusion numérique qui constitue, selon ses termes, « une nouvelle forme d’injustice sociale ».

Elle a annoncé que la table ronde organisée à cette occasion portera sur les grands enjeux du secteur en Guinée, avec une attention particulière à la meilleure inclusion du genre. Ce sera un moment d’échanges francs, au cours duquel seront posées les vraies questions :
Quel rôle les opérateurs veulent-ils jouer dans l’aménagement numérique du territoire ?
Comment créer les conditions d’une inclusion effective des femmes et des jeunes dans l’écosystème numérique national ?

En s’exprimant au nom du Président de la République, le Chef du Gouvernement a, quant à lui, réaffirmé l’intérêt que les autorités accordent à une société tournée vers le progrès et ouverte aux technologies de l’information et de la communication : « Les sociétés qui ont survécu à travers l’histoire sont celles qui ont su s’adapter aux évolutions. Aujourd’hui, nous sommes dans l’obligation de le faire. »

Le Premier ministre a souligné l’urgence de doter la Guinée d’institutions proactives, inclusives, innovantes et ambitieuses, chargées des questions de télécommunications, en vue d’une transformation numérique durable au service de tous : « Ce n’est plus un choix, c’est une obligation.

 

Conakry, 21 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a animé une master class à l’intention des 70 auditeurs actuellement en formation au Centre de formation en finances publiques.

Objectif : engager les futurs cadres de l’administration dans la dynamique des réformes en cours et les sensibiliser à la vision nationale à l’horizon 2040, fondée sur la réforme, la bonne gouvernance et le développement du capital humain.

Pendant une heure trente minutes, le Premier ministre a échangé avec les participants autour des grandes priorités nationales. À travers cet exercice pédagogique, il a transmis la vision du Chef de l’État pour une Guinée souveraine, inclusive et prospère.

Dans une approche directe et mobilisatrice, le Chef du Gouvernement a insisté sur la nécessité, pour chaque service public, de se fixer des objectifs clairs, mesurables et suivis, gages de responsabilité, de redevabilité et de transparence dans l’action publique.

Évoquant tous les secteurs stratégiques de la nation, le Premier ministre a rappelé que la transition en cours ne saurait être perçue comme une simple phase de gestion des urgences. Elle représente, selon lui, « une opportunité presque inespérée de refonder l’État, de réconcilier les institutions avec les citoyens et de tracer une trajectoire ambitieuse pour les décennies à venir ».

Cette ambition, a-t-il souligné, requiert un courage politique, une rigueur technique, ainsi qu’une mobilisation collective autour d’une vision partagée que chaque cadre de l’administration publique est appelé à s’approprier dans l’accomplissement de ses missions.

Pour sa part, le Directeur du Centre a précisé qu’à l’issue de cette formation de 24 mois, les auditeurs obtiendront un Master en finances publiques, va renforcer la capacité de l’État à piloter efficacement les politiques économiques et budgétaires.

 

Conakry, le 20 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a reçu en audience une délégation de la Cour pénale internationale (CPI), conduite par le Procureur général adjoint, M. Mame Mandiaye Niang.

Cette mission est venue saluer la volonté sans équivoque des autorités guinéennes dans la conduite du processus lié aux événements du 28 septembre, et réaffirmer l’engagement de la CPI à œuvrer au renforcement des liens de coopération avec la République de Guinée.

Prenant la parole, le Procureur général adjoint a salué les avancées significatives enregistrées dans le cadre du processus judiciaire, notamment en matière d’indemnisation des victimes et de réconciliation nationale.

« Le modèle guinéen dans la gestion de ce procès nous inspire aujourd’hui dans d’autres affaires similaires à travers le monde », a-t-il souligné.

En réponse, le Premier ministre a exprimé sa gratitude à l’endroit de la délégation pour son accompagnement constant. Il a rappelé que les initiatives engagées par les autorités guinéennes relèvent d’une approche profondément humaniste, et non d’une tentative d’effacement de la justice.

« L’indemnisation des victimes s’inscrit dans une dynamique de gestion du passif, avec pour objectif d’éviter toute résurgence de frustration. Tout cela répond à une volonté claire de renforcer les fondamentaux de la cohésion sociale », a-t-il déclaré

Conakry, le 19 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a présidé la cérémonie d’ouverture du Forum sur l’avenir de la presse en Guinée, organisé dans un complexe hôtelier de la capitale.

Portée par la Haute autorité de la communication, cette initiative vise à dresser un état des lieux du paysage médiatique guinéen, à identifier les insuffisances et défis actuels, et à proposer des pistes de solutions pour garantir un exercice libre mais responsable du journalisme en République de Guinée.

Dans son discours, le Président de la HAC, M. Aboubacar Yacine DIALLO, a précisé que ce forum vise à poser les bases d’une convention collective et instaurer un cadre de discussion permanent sur l’exercice du métier. Il a déploré l’infiltration de la profession par des individus en quête de gains faciles, qui se disent anticorruption mais en sont les premiers acteurs. A cet effet, il a appelé à l’assainissement de la profession pour lui redonner sa crédibilité et permettre aux journalistes de bénéficier d’un réel soutien des autorités, à condition qu’ils exercent avec responsabilité.

Exprimant sa confiance quant à l’émergence d’idées claires pour une autorégulation efficace au cours de ce forum, il a rassuré que les autorités accordent une attention bienveillante aux doléances des professionnels, à condition que la presse fasse sa renaissance.

Le Premier ministre a estimé que cette initiative marque « le temps de la raison », invitant les acteurs de la presse à une introspection profonde pour faire émerger des dynamiques voulues par la profession, en phase avec les mutations institutionnelles du pays. Il a souligné que le véritable enjeu dépasse la presse elle-même et touche à la redéfinition de l’expression politique dans le contexte actuel.

Saluant les avancées telles que la création de maisons de presse à Conakry et en régions, il a toutefois rappelé que des divergences subsistent : « les autorités et la presse sont en train de vivre un accompagnage. Mais bien entendu, un divorce reste un divorce ».

Il a enfin mis en garde contre une interprétation excessive de la liberté d’expression, dénonçant les dérives qui s’apparentent à des atteintes aux valeurs et croyances d’autrui sous couvert de liberté.

Pour finir, il a rappelé que la refondation, fondamentalement, a nécessairement besoin de contre-pouvoirs efficaces : « L’intérêt du pouvoir, c’est d’avoir des contre-pouvoirs efficaces, parce que c’est cela qui permet au pouvoir de ne pas aller dans les dérives. Mais si les contre-pouvoirs sont inefficaces, le pouvoir même ressentira cette inefficacité par le fait que son action n’est pas jugée avec objectivité pour lui permettre d’apprécier si on va dans la bonne direction ou pas ».

Pendant trois jours (du 19 au 21 mai 2025), ce forum réunit des acteurs clés des médias guinéens ainsi que des délégations venues des instances de régulation du Mali, du Sénégal, de la Côte d’Ivoire et du Maroc.

 

Conakry, le 17 mai 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Amadou Oury Bah, a assisté à la messe d’action de grâce à l’occasion de l’élection du nouveau pape Léon XIV, à la cathédrale Sainte Marie de Conakry, en présence de plusieurs fidèles chrétiens.

« Nous avons vécu deux événements : le décès du pape François et l’élection du pape Léon XIV. Ça s’est passé dans la communion profonde de tous les chrétiens, de tous les continents. Ça veut dire que Jésus a vraiment cassé les murs, le croissant entre les peuples, entre les continents, pour faire un seul peuple. Donc nous disons merci à Dieu pour cette manifestation de la communion, de l’unité de l’Église dans tous les continents », a mentionné l’archevêque de Conakry, Monseigneur Vincent Coulibaly.

Au nom de la Conférence épiscopale de Guinée, il a salué la présence du Chef du Gouvernement et des diplomates accrédités en Guinée, avant de formuler des bénédictions pour le pape Léon XIV, la paix et la cohésion en Guinée et dans le monde.

Le Premier ministre trouve légitime et normal que les fidèles chrétiens de Guinée fêtent aussi l’arrivée du nouveau pape.

« Nous, en tant qu’autorités en situation de responsabilité, nos devoirs, c’est d’être là où se trouvent nos concitoyens, dans le cadre du respect de la laïcité de l’État. Donc, c’est avec ferveur et enthousiasme que nous avons appris l’arrivée prochaine, en 2027, de Sa Sainteté le pape Léon XIV dans notre pays », s’est réjoui Bah Oury.

Avant de rassurer que son gouvernement travaille avec les membres du clergé pour préparer ce rendez-vous historique, en 2027, pour les fidèles chrétiens et le peuple de Guinée dans sa globalité, afin que tout se passe dans d’excellentes conditions.