PROJET DE NOUVELLE CONSTITUTION : LE GOUVERNEMENT S’ENGAGE A ASSURER UNE LARGE VULGARISATION

Conakry, 4 juillet 2025 – Sur instruction du Président de la République, un Conseil interministériel extraordinaire élargi aux membres du CNRD s’est tenu ce vendredi, sous la présidence du Premier ministre, Chef du Gouvernement, Monsieur Amadou Oury Bah. Cette importante rencontre a été consacrée à la stratégie de large diffusion du projet de Constitution, en vue de son appropriation massive par l’ensemble des Guinéennes et des Guinéens.

Lors de ce Conseil, le Premier ministre a réaffirmé l’engagement du gouvernement à assurer, avec détermination et méthode, la vulgarisation du texte constitutionnel qui jettera les bases de la future République. Il a indiqué que cette mission sera conduite conformément aux hautes instructions du Président de la République, Général Mamadi Doumbouya, dans un esprit de responsabilité, d’inclusivité et de pédagogie.

« À partir de maintenant, le gouvernement prend le relais pour permettre à tous nos compatriotes, à l’intérieur comme à l’extérieur du pays, de s’approprier le contenu de ce texte fondateur », a déclaré le Chef du Gouvernement.

Ainsi, dès le début de la semaine prochaine, toutes les dispositions seront prises pour organiser une large campagne d’information et de sensibilisation, aussi bien dans les villes que dans les campagnes, dans les établissements scolaires, les casernes, ainsi que dans la diaspora guinéenne. L’objectif est clair : faire en sorte que chaque citoyen soit en mesure de comprendre les enjeux du projet de Constitution qui lui sera soumis lors du référendum prévu pour le 21 septembre 2025.

À travers cette démarche inclusive et transparente, le gouvernement entend permettre à chaque Guinéenne et à chaque Guinéen d’exprimer, en toute connaissance de cause, leur volonté de doter le pays d’un cadre institutionnel stable, démocratique et porteur d’un avenir commun.

Le Premier ministre a souligné que ce projet constitutionnel se veut le reflet des aspirations profondes du peuple de Guinée : un État démocratique, soucieux de son histoire, ouvert à la modernité, et fondé sur une gouvernance partagée, équilibrée et consensuelle.

« Ce que nous attendions depuis des décennies, c’est une société rassemblée, fraternelle, tournée vers le progrès et ancrée dans la paix », a conclu le Chef du Gouvernement.

LA GUINÉE ET LA BANQUE DE TECHNOLOGIE DE L’ONU RENFORCENT LEUR PARTENARIAT POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE

Le Premier ministre Amadou Oury Bah a tenu une réunion stratégique avec M. Deodat Maharaj, directeur général de la Banque de technologie de l’ONU, en marge de la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement à Séville, en Espagne.
En présence de la ministre des Postes, Télécommunications et de l’Économie numérique, Rose Pola Pricemou, et des représentants diplomatiques de la Guinée auprès de l’ONU et en Espagne, les discussions ont convergé sur l’intégration essentielle de la technologie et de l’innovation pour le développement durable en République de Guinée.
S’appuyant sur des modèles de succès africains, la Banque de technologie de l’ONU s’est engagée à un accompagnement concret. Cet appui vise à renforcer le programme de connectivité des territoires de la Guinée, avec une attention particulière portée aux secteurs de l’éducation et de l’agriculture.

FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT : LA DÉLÉGATION GUINÉENNE RENCONTRE LA BANQUE EUROPÉENNE D’INVESTISSEMENT

Séville, 3 juillet 2025 – En marge des travaux de la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement, le Premier ministre, Amadou Oury Bah, a eu un entretien clé avec M. Andrew McDowell, directeur général de la Banque européenne d’investissement (BEI), et Mme Carlota Cenalmor, responsable de la stratégie institutionnelle de la BEI.
Au cours de cette rencontre stratégique, la délégation de la BEI a réaffirmé sa ferme intention de renforcer ses interventions en Guinée. La Banque européenne « veut contribuer activement à la transformation économique » du pays, notamment à travers le Programme Simandou 2040, qui vise à dynamiser l’économie guinéenne.
La BEI a, par ailleurs, souligné l’importance de la signature prochaine d’une convention de financement de près de 200 millions d’euros. Cet accord crucial est destiné à améliorer l’approvisionnement en eau potable de Conakry et de ses environs.
Le Premier ministre a pris note de l’urgence de finaliser l’accord de financement dans le secteur de l’eau. Il a également encouragé la BEI à élargir ses interventions dans les secteurs de la transformation en République de Guinée, un domaine clé pour la diversification économique du pays.
La rencontre s’est déroulée en présence des ministres en charge de la Coopération internationale et de l’Économie numérique, ainsi que de l’ambassadeur de Guinée au Royaume d’Espagne.
L’engagement de la BEI en Guinée dure depuis plus de 30 ans et s’est concrétisé par des investissements directs dans des structures privées, notamment des banques.

CONFÉRENCE INTERNATIONALE SUR LE FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT (FFD4) :

Le Premier ministre Amadou Oury Bah plaide pour un soutien adapté aux “réalités spécifiques” des pays en développement.

Séville, le 1er juin 2025 – Au FfD4, le message du Président de la République, le Général Mamadi Doumbouya, a été transmis par le Premier ministre Amadou Oury Bah.
Dans son allocution, le Chef du Gouvernement guinéen a réaffirmé que la question du financement du développement est au cœur de la stratégie nationale de transformation économique et sociale, incarnée par le programme SIMANDOU 2040. Il a rappelé que, sous la conduite du CNRD, la Guinée s’est engagée dans une dynamique de réformes structurelles, fondées sur la mobilisation des ressources internes, l’ouverture à l’innovation financière et le renforcement des partenariats stratégiques.

« Une aide au développement qui ignore les efforts d’investissement vert ou les contraintes de vulnérabilité climatique n’est ni juste, ni inclusive, encore moins efficace », a-t-il affirmé.

À ce titre, le Chef du Gouvernement a évoqué « l’initiative d’inscrire le Massif du Fouta Djallon au patrimoine mondial de l’UNESCO », soulignant sa portée écologique, économique et humaine. Ce projet, pour lui, symbolise la convergence entre développement durable et coopération transfrontalière, tout en traduisant la volonté de la Guinée de renforcer la solidarité régionale, notamment avec les pays enclavés du continent.

Dans cette perspective, le Premier ministre a réitéré la disponibilité de la Guinée à accompagner les dynamiques d’intégration africaine, en mettant à contribution ses ressources au service du bien commun régional.

« À Séville, nous devons aller au-delà des intentions », a-t-il lancé, en appelant à une réforme effective de l’architecture financière internationale, à un mécanisme équitable de traitement de la dette, et à une coopération fiscale mondiale « qui ne marginalise plus les pays du Sud ».

Le Premier ministre a conclu en précisant que la République de Guinée ne sollicite pas un traitement d’exception à Séville, « mais une reconnaissance équitable des efforts engagés et des droits de chaque peuple à tracer sa voie vers la prospérité ».

FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT : LA GUINÉE ÉLUE À LA VICE-PRÉSIDENCE DE LA 4ÈME CONFÉRENCE INTERNATIONALE

Séville, Espagne – le 30 juin 2025 – À seulement cinq ans de l’échéance des Objectifs de Développement Durable (ODD), Séville, la capitale andalouse, est le théâtre d’un rassemblement crucial. Chefs d’État et de gouvernement, institutions financières et commerciales, entreprises, représentants de la société civile et le système des Nations Unies sont réunis pour la 4ème Conférence internationale sur le Financement du Développement. L’objectif est clair : insuffler un nouvel élan au multilatéralisme et accélérer le financement des initiatives essentielles au développement mondial.

Le Secrétaire général des Nations Unies, António Guterres, a souligné l’urgence de la situation, estimant le besoin annuel de financement des ODD à 4 000 milliards de dollars. Il a plaidé avec force pour l’adoption de solutions novatrices, notamment la restructuration du système de la dette et une mobilisation accrue des ressources internes. Le Roi d’Espagne, hôte de cette conférence, a quant à lui invité les participants à adopter un “langage d’efficacité” et à définir des engagements concrets pour créer de “cercles vertueux”, afin que Séville marque un jalon décisif pour la coopération et le développement durable.

Dans ce contexte international où se redéfinit le cadre de référence pour la mobilisation des financements, la République de Guinée est appelée à jouer un rôle majeur. Dès l’ouverture de la conférence, la délégation guinéenne, conduite par le Premier ministre Amadou Oury Bah, a été honorée par l’élection de la Guinée à l’un des postes de vice-président de cette importante rencontre.

Cet honneur, qui témoigne de la reconnaissance du rôle et de l’engagement de la Guinée sur la scène internationale, est salué par le Premier ministre, au nom de Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya, Président de la République. Pour le ministre des Affaires étrangères, de l’intégration africaine et des Guinéens établis à l’étranger, Dr Morissada Kouyaté, cette position stratégique permettra à la Guinée de contribuer activement aux débats et à l’élaboration des solutions qui façonneront l’avenir du financement du développement pour les années à venir.

SÉVILLE : LE PREMIER MINISTRE REPRÉSENTE LE PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE À LA CONFÉRENCE DE L’ONU SUR LE FINANCEMENT DU DÉVELOPPEMENT

Le Chef du Gouvernement est arrivé, dimanche, à Séville pour représenter le Président de la République, le Général Mamadi Doumbouya, à la quatrième Conférence internationale sur le financement du développement.

Le Premier ministre a pris part au dîner offert par le Roi Felipe VI d’Espagne et la Reine Letizia, en l’honneur des Chefs d’État et de Gouvernement participant à cet événement.

À cette conférence, dans la capitale andalouse, la délégation guinéenne comprend les ministres des Affaires étrangères, de l’Intégration africaine et des Guinéens établis à l’étranger, Dr Morissanda Kouyaté ; de l’Économie et des Finances, Mourana Soumah ; du Budget, Facinet Sylla ; du Plan et de la Coopération internationale, Ismael Nabé ; des Postes, Télécommunications et de l’Économie numérique, Rose Pola Pricemou ; l’Ambassadeur Représentant permanent de la Guinée auprès de l’ONU, Mohamed Dabo ; ainsi que l’Ambassadeur de la Guinée au Royaume d’Espagne, Famoi Mara.

Près de 70 Chefs d’État et de Gouvernement sont présents, aux côtés de 4 000 représentants d’organisations de la société civile, d’institutions financières internationales et du secteur privé.

Selon le Secrétaire général de l’ONU, António Guterres, l’objectif est de répondre à l’urgence des besoins financiers des pays en développement, confrontés à un déficit annuel estimé à 4 000 milliards de dollars.

Le projet de déclaration, baptisé « Compromis de Séville », devrait plaider pour une meilleure représentation des pays du Sud dans les instances financières mondiales, un triplement des capacités de prêts des banques de développement, et une coopération accrue contre l’évasion fiscale.

DALABA : LE PREMIER MINISTRE LANCE LES DEUXIEMES EPREUVES DU BACCALAUREAT UNIQUE 2025

Dalaba, 23 juin 2025 – Après le lancement officiel à Pita des premières épreuves du Baccalauréat unique, session 2025, le Premier ministre a procédé au lancement des secondes épreuves à l’École primaire Elhadji Alpha Yaya Diallo.

Cet établissement publique est l’unique centre d’examen de la Préfecture de Dalaba avec 201 candidats, dont 85 filles.

Le Premier ministre a salué la qualité de l’organisation ainsi que la forte représentativité des filles : « Nous sommes au cœur du Fouta, une région historiquement conservatrice, où les filles étaient peu encouragées à aller à l’école. Aujourd’hui, apprendre que la région de Mamou enregistre le plus fort taux de représentativité féminine au niveau national (43 %) témoigne d’un changement profond. C’est également un indicateur fort du progrès dans le développement du capital humain dans le pays. »

Pour le Chef du Gouvernement lorsqu’une fille atteint le niveau du certificat d’études, ses enfants ont toutes les chances d’aller plus loin qu’elle dans les études. « scolariser les filles aujourd’hui, c’est préparer une génération future encore mieux instruite, capable d’atteindre l’enseignement supérieur », a dit le Premier ministre.

Avant de quitter Dalaba pour Mamou, le Premier ministre a encouragé les candidats, en restant serein face aux épreuves et leur a souhaité bonne chance

Les deuxièmes épreuves portent sur le français pour les Sciences sociales, et sur les mathématiques pour les Sciences mathématiques et les Sciences expérimentales.

PITA : LE PREMIER MINISTRE LANCE OFFICIELLEMENT LES ÉPREUVES DU BACCALAURÉAT UNIQUE 2025

Pita, le 23 juin 2025 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, M. Amadou Oury BAH, a officiellement lancé les premières épreuves du Baccalauréat unique, session 2025, au lycée Elhadji Ibrahima Barry, dans le quartier Guèmè 2, Commune urbaine de Pita.

Pour cette session, la préfecture de Pita enregistre un total de 345 candidats, dont 182 filles. Tous composeront dans un seul centre d’examen. L’option Sciences sociales (enseignement général) enregistre le plus grand nombre de candidats de la préfecture.

Cette année, 72 937 candidats sont inscrits sur l’ensemble du territoire national, dont 31 218 filles, représentant 43 % des effectifs. Par ailleurs, le nombre de candidats libres s’élève à 27 601. Au niveau régional, Mamou compte cette année 1 031 candidats, dont 489 filles.

Au nom du Président de la République, le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a souligné que les plus grandes réformes qui doivent être engagées concernent le secteur éducatif, car, pour lui, la principale ressource dont dispose un pays, c’est le capital humain. C’est pourquoi des efforts sont consentis, et progressivement, des résultats sont enregistrés, à travers les performances remarquables de certains talents que compte notre pays.

Il a invité les élèves au calme et à la sérénité, les exhortant à ne pas se précipiter face aux sujets, qui portent « sur ce qui leur a été enseigné pendant le cycle secondaire ».

« Nous lançons les épreuves non pas dans un établissement public… Cela traduit la nécessité de renforcer les capacités d’accueil et la fonctionnalité des établissements publics, afin de les mettre au même niveau que ceux du secteur privé. Ce n’est pas de la concurrence. Le secteur privé a longtemps comblé les lacunes du public », a-t-il ajouté après le lancement.

Selon les options, les premières épreuves portent sur l’histoire pour les Sciences sociales, et sur l’anglais pour les Sciences mathématiques et les Sciences expérimentales.

Cette année le lancement se fait sous le signe de la responsabilité et de la professionnalisation du système éducatif.

PRÉSENTATION DES LETTRES DE MISSION DU GOUVERNEMENT POUR L’ANNÉE 2025

Conakry, 20 juin 2025 – Devant les Secrétaires généraux, Chefs de cabinets, Conseillers principaux, Inspecteurs généraux et responsables des Bureaux de Stratégie et de Développement (BSD), le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a présenté de manière approfondie le cadre logique structurant le travail gouvernemental, en mettant particulièrement l’accent sur les lettres de mission assignées aux départements ministériels
Cet exercice vise à instaurer une vision commune des actions à entreprendre pour atteindre les objectifs stratégiques fixés à chaque ministère. Il s’inscrit également dans une dynamique de performance et de redevabilité, indispensable pour répondre aux attentes des citoyens et bâtir un avenir meilleur pour la Guinée.
Au cours de sa présentation, le Premier ministre a souligné que l’organisation du présent atelier intervient à un moment décisif dans le processus de transformation nationale. Il a rappelé que l’année 2025 constitue une étape charnière, marquant la clôture du Plan de Référence Intérimaire (PRI) et le lancement opérationnel du Programme Simandou 2040, matrice stratégique de la Vision Guinée 2040 portée par le Président de la République, Son Excellence le Général Mamadi Doumbouya.
C’est pourquoi, a-t-il affirmé, « cette transition n’est pas simplement institutionnelle. » Elle engage une transformation en profondeur des méthodes de gouvernance, des pratiques administratives et des référentiels de performance publique.
Dans cette perspective, les lettres de mission ministérielles, ainsi que les documents y afférents : Plans d’Action Opérationnels (PAO), Contrats Annuels de Performance (CAP), outils de suivi et d’évaluation constituent des instruments essentiels de pilotage, d’alignement stratégique et de redevabilité gouvernementale.
S’exprimant sur les contrats de performance M. Amadou Oury Bah, a indiqué qu’ils jouent un rôle fondamental dans la gestion publique. Ils instaurent une culture de responsabilisation, en liant les objectifs des ministères à des résultats concrets, permettant ainsi une évaluation rigoureuse de l’efficacité des politiques publiques et une transparence accrue dans l’utilisation des ressources.
Poursuivant, il a mentionné que la vision du Président, clairement exprimée depuis le 5 septembre, repose sur la construction d’une Guinée souveraine et éthique, marquée par une rupture franche avec les pratiques antérieures. Cette vision se décline en trois transformations fondamentales : sociale, économique et politique.
Enfin, le Chef du Gouvernement a tenu à rappeler que les objectifs assignés aux départements ministériels ne relèvent plus d’une logique procédurale ou déclarative. Ils obéissent désormais à une hiérarchie méthodique structurée autour de trois registres complémentaires :
1.Objectifs de stabilisation institutionnelle et de régulation républicaine, visant à restaurer la légitimité de l’action publique, l’effectivité de l’État de droit et la cohérence normative de l’administration ;
2.Objectifs de transformation sectorielle et de réingénierie de l’action publique, centrés sur la réforme des politiques, la réorientation des priorités, la redynamisation des services publics et la professionnalisation de la gestion publique ;
3.Objectifs de projection stratégique et de souveraineté nationale, en lien avec la compétitivité du pays, l’intégration régionale, la valorisation des ressources nationales et l’affirmation d’une diplomatie au service du développement.

LA GUINEE ATTIRE LES GEANTS DE L’ENERGIE SOLAIRE

Conakry, 19 juin 2025

Le Premier ministre Amadou Oury BAH a reçu en audience une délégation d’investisseurs de la société américaine ECC ENERGIE, spécialisée dans la conception, le financement et la réalisation de projets d’énergie renouvelable à grande échelle.

Basée à San Francisco aux Etats-Unis, ECC opère dans plus de 17 pays et est reconnue pour son expertise en infrastructures énergétiques, hydrauliques et hospitalières. Elle propose aujourd’hui un partenariat stratégique avec la Guinée pour le développement de centrales solaires d’une capacité allant de 150 à 500 MW.

Le Chef du Gouvernement a rappelé la vision du Président de la République : Renforcer la capacité de production énergétique pour permettre à la Guinée de couvrir durablement ses besoins domestiques et industriels. Et ce,en créant les conditions propices à la transformation locale des ressources minières, notamment la bauxite.

Une ambition claire : faire de l’énergie un levier de souveraineté économique et de valorisation nationale des richesses.

« ECC est prête à financer et construire entièrement ces centrales, avec un calendrier de 10 à 24 mois selon la capacité retenue. Notre objectif est de contribuer concrètement à la transition énergétique guinéenne », a déclaré Cenk SERHAN, Directeur du développement international d’ECC Global.

Le projet prévoit un financement à 100%, assorti de conditions favorables pour la Guinée, avec une mobilisation rapide dès l’accord de principe validé par les autorités. Des visites de sites sont prévues pour adapter les propositions aux réalités du terrain.

Ce partenariat marque un tournant dans l’ambition du Gouvernement guinéen de booster l’accès à l’énergie propre, de réduire les coûts de production, et de renforcer l’attractivité du pays auprès des investisseurs internationaux.

Une coopération porteuse d’avenir, au service du développement durable et de la souveraineté énergétique.