Le Premier ministre a prĂ©sidĂ© la sĂ©ance de restitution des travaux sur l’adressage numĂ©rique et physique en GuinĂ©e.

Conakry, le 2 AoĂ»t 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement a reçu le groupe de travail en charge des travaux de l’adressage numĂ©rique et physique de la GuinĂ©e.

Ils sont 33 cadres issus de diffĂ©rents services de l’administration publique, venus faire la restitutions des travaux effectuĂ©s sur l’adressage numĂ©rique et physique en GuinĂ©e, ainsi que la rĂ©alisation du projet pilote dans la commune de Kaloum.

Selon le Conseiller en charge des tĂ©lĂ©communications et de l’adressage, la premiĂšre sĂ©ance de travail a portĂ© sur la mĂ©thodologie et l’objectif de rĂ©aliser une opĂ©ration pilote du projet dans la commune de Kaloum. Par consĂ©quent, les actions ont concernĂ© le cadre rĂ©glementaire et institutionnel du projet, la rĂ©alisation d’un standard et d’un guide du processus d’adressage, la gestion des voies, la codification postale, et la conception des signalĂ©tiques et leur standardisation.

Le Premier ministre a remerciĂ© le groupe pour le travail accompli et les a exhortĂ©s Ă  redoubler d’efforts pour que le projet soit effectif dans les plus brefs dĂ©lais.

Rappelons que c’est en exĂ©cution des recommandations de la session du Conseil InterministĂ©riel du 26 juin 2024 tenue Ă  la Primature, qu’un groupe de travail a Ă©tĂ© mis en place pour dresser un planning de travail concernant le projet.

Le Premier ministre a reçu des experts internationaux dans le cadre du projet de l’Institut Polytechnique Civilo-militaire

Conakry, le 1er aoĂ»t 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Amadou Oury BAH, a reçu une dĂ©lĂ©gation du MinistĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, au Palais de la Colombe.
ComposĂ©e d’experts internationaux, la dĂ©lĂ©gation a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e par le ministre de l’Enseignement supĂ©rieur , de la recherche scientifique et de l’innovation Alpha Bacar BARRY pour faire le point sur l’atelier de cadrage du projet de l’Institut Polytechnique Civilo-Militaire.
Selon Monsieur François SYLLA, Chercheur Ă  Paris, le projet rĂ©pond Ă  une ambition prĂ©sidentielle. il permet de doter la GuinĂ©e d’ingĂ©nieurs de haut niveau capables de concevoir des projets innovants , complexes et technologiques.
« L’atelier de cadrage a consistĂ©, d’une part, Ă  faire l’état des lieux et, d’autre part, Ă  dĂ©finir une premiĂšre maquette de ce que cet institut pourrait ĂȘtre et des cursus que les ingĂ©nieurs devraient suivre », ajoute-t-il.
Le Premier ministre a, quant Ă  lui, exprimĂ© la volontĂ© des autoritĂ©s d’accompagner ce projet, qui donnera un nouvel Ă©lan au capital humain. Il a saluĂ© l’initiative des cadres du ministĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur qui inscrivent le secteur dans une dynamique de renouveau : « Ce dossier m’intĂ©resse ; j’aimerais suivre son Ă©volution. » a-t-il soulignĂ©.
Il a ensuite suggĂ©rĂ© aux experts d’expĂ©rimenter une approche novatrice : « Les Classes PrĂ©paratoires aux Grandes Écoles (CPGE) et le PrytanĂ©e Militaire permettent de former plusieurs catĂ©gories de niveau. »
Pour le Premier ministre, il s’agit d’une vĂ©ritable renaissance qu’il faut pĂ©renniser : « Nous sommes ambitieux, mais il faut aller avec mĂ©thode et pragmatisme ». Conclut-il.
Rappelons que l’Institut Polytechnique Civilo-militaire a pour objectif de combiner une formation technique de haut niveau, avec une formation militaire de base.

Le Premier ministre a reçu des experts internationaux dans le cadre du projet de l’Institut Polytechnique Civilo-militaire

Conakry, le 1er aoĂ»t 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, Amadou Oury BAH, a reçu une dĂ©lĂ©gation du MinistĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur, de la Recherche Scientifique et de l’Innovation, au Palais de la Colombe.

ComposĂ©e d’experts internationaux, la dĂ©lĂ©gation a Ă©tĂ© prĂ©sentĂ©e par le ministre de l’Enseignement supĂ©rieur , de la recherche scientifique et de l’innovation Alpha Bacar BARRY pour faire le point sur l’atelier de cadrage du projet de l’Institut Polytechnique Civilo-Militaire. Selon Monsieur François SYLLA, Chercheur Ă  Paris, le projet rĂ©pond Ă  une ambition prĂ©sidentielle. il permet de doter la GuinĂ©e d’ingĂ©nieurs de haut niveau capables de concevoir des projets innovants , complexes et technologiques.

« L’atelier de cadrage a consistĂ©, d’une part, Ă  faire l’état des lieux et, d’autre part, Ă  dĂ©finir une premiĂšre maquette de ce que cet institut pourrait ĂȘtre et des cursus que les ingĂ©nieurs devraient suivre », ajoute-t-il.

Le Premier ministre a, quant Ă  lui, exprimĂ© la volontĂ© des autoritĂ©s d’accompagner ce projet, qui donnera un nouvel Ă©lan au capital humain. Il a saluĂ© l’initiative des cadres du ministĂšre de l’Enseignement SupĂ©rieur qui inscrivent le secteur dans une dynamique de renouveau : « Ce dossier m’intĂ©resse ; j’aimerais suivre son Ă©volution. »a-t-il soulignĂ©.

Il a ensuite suggĂ©rĂ© aux experts d’expĂ©rimenter une approche novatrice : « Les Classes PrĂ©paratoires aux Grandes Écoles (CPGE) et le PrytanĂ©e Militaire permettent de former plusieurs catĂ©gories de niveau. »

Pour le Premier ministre, il s’agit d’une vĂ©ritable renaissance qu’il faut pĂ©renniser : « Nous sommes ambitieux, mais il faut aller avec mĂ©thode et pragmatisme ». Conclut-il.

Rappelons que l’Institut Polytechnique Civilo-militaire a pour objectif de combiner une formation technique de haut niveau, avec une formation militaire de base. ValidĂ©

SantĂ© : Le Premier ministre a reçu une dĂ©lĂ©gation du bureau rĂ©gional de L’OMS.

Conakry, le 28 juin 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a reçu en audience une dĂ©lĂ©gation du bureau rĂ©gional de l’OMS, dirigĂ©e par le Dr Jean-Marie Kipela, reprĂ©sentant de l’OMS en GuinĂ©e.

La mission séjourne en Guinée dans le cadre du renforcement de la sécurité sanitaire et la lutte contre les urgences de santé publique notamment les épidémies.

À la sortie de l’audience, le Dr Jean-Marie Kipela a dĂ©clarĂ© : « L’OMS a dĂ©fini trois initiatives phares pour renforcer la lutte contre les urgences de santĂ© publique dans la rĂ©gion africaine. Ces initiatives concernent la prĂ©paration, la dĂ©tection et la rĂ©ponse aux urgences sanitaires. Comme vous le savez, le pays a dĂ©veloppĂ© un plan d’action nationale pour la sĂ©curitĂ© sanitaire d’une durĂ©e de cinq ans. »

Poursuivant, il a soulignĂ© que la mission va Ă©laborer une feuille de route pour dĂ©terminer les activitĂ©s prioritaires. Cette feuille de route sera mise en Ɠuvre pendant les deux premiĂšres annĂ©es pour renforcer tout ce qui est liĂ© Ă  la prĂ©paration, Ă  la dĂ©tection et Ă  la rĂ©ponse aux urgences sanitaires.

« Nous allons d’abord renforcer la coordination, mettre en place des experts en ressources humaines ou une Ă©quipe d’environ 30 Ă  50 personnes qui seront formĂ©es comme experts. Il y a des modules de formation. La GuinĂ©e, avec l’expĂ©rience de la gestion de l’épidĂ©mie d’Ebola, a appuyĂ© d’autres pays, comme la RDC, dans la rĂ©ponse aux Ă©pidĂ©mies d’Ebola dans le Sud-Kivu », a-t-il ajoutĂ©.

« BĂątissons ensemble cette citĂ© pour ouvrir les portes d’un avenir brillant  », le Premier ministre au lancement officiel des travaux de la citĂ© des sciences et de l’innovation

Conakry, le 19 juillet 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a officiellement lancĂ© les travaux de rĂ©novation et d’extension de la citĂ© des sciences et de l’innovation, sur le site de CERESCOR dans la commune de Ratoma.

La citĂ© des sciences et de l’innovation est un projet novateur qui vise Ă  positionner la RĂ©publique de GuinĂ©e comme un leader rĂ©gional en matiĂšre de durabilitĂ© environnementale et d’avancement scientifique. FondĂ©e sur l’exploitation de ses ressources elle aspire Ă  promouvoir la recherche de pointe, l’innovation et l’éducation dans les sciences et les technologies.

Le Ministre de l’Enseignement SupĂ©rieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation, Alpha Bacar BARRY, a dans son allocution, notĂ© que dans un monde oĂč les avancĂ©es scientifiques et technologiques dĂ©terminent le rythme du dĂ©veloppement, il est impĂ©ratif que la RĂ©publique de GuinĂ©e se positionne comme un acteur clĂ© dans la sous-rĂ©gion.

« Cette citĂ© incarnera notre vision d’un avenir oĂč la science et l’innovation sont au cƓur de notre croissance Ă©conomique et sociale. Elle sera un lieu oĂč nos chercheurs et ingĂ©nieurs pourront collaborer, innover et transformer des idĂ©es en solutions concrĂštes pour rĂ©pondre aux dĂ©fis de notre Ă©poque », prĂ©cise-t-il.

Le Premier ministre a quant Ă  lui, rappelĂ© que le site de CERESCOR illustre Ă  lui seul l’histoire et la rĂ©alitĂ© exceptionnelles de notre pays. Car, nos devanciers visionnaires avaient eu le souci de placer le pays Ă  l’avant-garde du progrĂšs en dĂ©diant cet espace Ă  la recherche. Cependant d’autres hommes ont fait en sorte que le temps et le rĂȘve qu’ils portaient se sont arrĂȘtĂ©s.

Le Chef du Gouvernement a ensuite assurĂ© que sous l’Ă©tendard de la refondation et du State Building, RogbanĂ© va renaĂźtre de ses cendres et devenir une citĂ© moderne de connaissances appliquĂ©es et de crĂ©ativitĂ© pour rĂ©pondre Ă  nos dĂ©fis actuels et futurs : « En Ă©difiant une premiĂšre citĂ© pilote dĂ©diĂ©e aux sciences et aux technologies, nous affichons notre volontĂ© d’assurer aux femmes et aux hommes de science du pays que le temps de la renaissance a sonnĂ©.
Par ailleurs, il a mentionnĂ© que nous vivons une Ă©poque oĂč le progrĂšs scientifique et technologique est la clĂ© de la compĂ©titivitĂ© des nations. La GuinĂ©e, riche de son potentiel humain et naturel, doit s’engager rĂ©solument sur cette voie pour garantir son dĂ©veloppement durable et inclusif : « Nous ne pouvons pas garantir notre souverainetĂ© et assurer le dĂ©veloppement du pays avec des laboratoires et des centres d’incubation scientifiques et technologiques qui demeurent silencieux et improductifs », a-t-il ajoutĂ©.

Rappelant une petite anecdote qu’il a eue en apartĂ© avec le PrĂ©sident de la RĂ©publique, M. Amadou Oury BAH a soulignĂ© : « Je peux vous dire que rĂ©cemment, le PrĂ©sident me disait, lorsqu’il Ă©tait plus jeune, qu’il aimait venir ici avec sa moto. Et c’est avec tristesse qu’il a constatĂ© que le centre Ă©tait littĂ©ralement abandonné  Aujourd’hui, c’est une reconnaissance et une rĂ©conciliation avec un passĂ© illustre de rogbanĂ© qui est en train de se concrĂ©tiser grĂące Ă  son leadership personnel ».

Pour finir, il a noté que ce projet nécessite des efforts conjoints et une coopération étroite entre le gouvernement, le secteur privé, les institutions académiques, la société civile et la coopération internationale.

« BĂątissons ensemble cette citĂ© pour ouvrir les portes d’un avenir brillant et plein de promesses pour notre pays et pour les gĂ©nĂ©rations futures »

Rencontre de travail avec le groupe G5 : Un soutien précieux pour le massif du Fouta Djallon

Conakry, le 17 juillet 2024 -Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a reçu au Palais de la Colombe le groupe G5.

Les Ă©changes ont portĂ© sur la volontĂ© commune de protĂ©ger le Massif du Fouta Djallon et d’assurer sa reconnaissance au Patrimoine mondial de l’Unesco.

Le Chef du Gouvernement s’est rĂ©joui du soutien annoncĂ© de la CEDEAO Ă  la GuinĂ©e pour inscrire le massif du Fouta Djallon au Patrimoine mondial de l’Unesco : « Ce massif joue un rĂŽle crucial dans l’écosystĂšme rĂ©gional. En effet, il est la source de plusieurs grands fleuves internationaux, tels que le Niger, le SĂ©nĂ©gal, le Fleuve Gambie, ainsi que de nombreuses riviĂšres ». La prĂ©servation de cet environnement unique est un dĂ©fi climatique majeur pour la GuinĂ©e et pour l’ensemble de l’Afrique de l’Ouest », dit-il.

Il a soulignĂ© l’importance de cet engagement collectif : « Sa prĂ©servation est un dĂ©fi climatique autour duquel le PrĂ©sident de la RĂ©publique et le Gouvernement mobilisent les acteurs nationaux et internationaux », a-t-il ajoutĂ©.

Le soutien de la CEDEAO est une reconnaissance des efforts déployés par la Guinée pour préserver son patrimoine naturel. Cette collaboration 5entre la Guinée et les partenaires internationaux est essentielle pour assurer la durabilité et la protection des ressources naturelles, qui sont vitales pour le développement économique et social du pays.

Climat des affaires : la guinée plus que jamais attractive

Kigali, 17 mai 2024 – La crĂ©ation des conditions favorables au climat des affaires est le panel de haut niveau qui a rĂ©uni le Premier ministre de la GuinĂ©e et ses homologues de CĂŽte d’Ivoire, du Rwanda et de la RĂ©publique DĂ©mocratique de Sao TomĂ©-et-Principe au l’Africa CEO Forum 2024.

Au cours de cette rencontre, le Premier ministre Amadou Oury Bah a prĂ©sentĂ© les atouts, les dĂ©fis et les ambitions Ă©conomiques de la GuinĂ©e. Il a introduit ses propos en relevant que les effets de l’incendie du principal dĂ©pĂŽt de carburant de la capitale, ont permis de revoir Ă  la baisse les estimations de croissance Ă  environ 4,2%. Toutefois, le pays reste attractif et jouit d’une relative stabilitĂ©, avec un taux d’endettement actuel de 40% du PIB, infĂ©rieur Ă  celui de certains pays voisins.

Avec un potentiel extrĂȘmement important dans les secteurs hydroĂ©lectrique, agricole et minier, “la GuinĂ©e est engagĂ©e dans un processus de State Building” a rassurĂ© le Premier ministre. Avec l’accompagnement du FMI et de la Banque mondiale, des rĂ©formes sont en cours pour assainir les finances publiques, augmenter les ressources intĂ©rieures et rationaliser les dĂ©penses. Le chantier des infrastructures connaĂźt une avancĂ©e significative avec la rĂ©alisation d’environ 1000 km de routes depuis le 5 septembre 2021.

“Nous voulons vĂ©ritablement mettre les fondamentaux de bases pour que le PrĂ©sident Mamadi Doumbouya soit le PrĂ©sident de 2000 km de routes bitumĂ©es” a promis le chef du gouvernement. Dans la mĂȘme dynamique de changement qualitatif, les autoritĂ©s travaillent Ă  redresser le secteur de l’Ă©lectricitĂ© et prĂ©voient d’augmenter la capacitĂ© de production d’Ă©nergie de 500 MW dans les prochains mois Ă  partir des sources solaires.

La GuinĂ©e est dans une position de relance de son Ă©conomie poursuit le Chef du gouvernement. L’impact prometteur du projet minier de Simandou, devrait transformer le paysage Ă©conomique et social du pays. “Le cooridor du TransguinĂ©en est un corridor oĂč nous allons encourager le secteur privĂ© Ă  se dĂ©velopper pour la diversification de notre Ă©conomie”.

Amadou Oury Bah a conclu son intervention trĂšs applaudie en prĂ©disant que les dix prochaines annĂ©es de la GuinĂ©e feront Ă©merger un grand pays. “Un pays que les Ă©tudes menĂ©es dans les annĂ©es 50 ont indiquĂ© comme la locomotive Ă©conomique de l’Afrique de l’Ouest”.

Pose de la premiÚre pierre du nouveau siÚge du MinistÚre de la Sécurité et de la Protection Civile

Conakry, le 17 juillet 2024 – Le Premier ministre, Chef du Gouvernement, a procĂ©dĂ© Ă  la pose de la premiĂšre pierre pour la construction du siĂšge du ministĂšre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile.

Cette pose de la premiĂšre pierre intervient aprĂšs l’inauguration de plusieurs infrastructures abritant les services de police tant Ă  Conakry qu’à l’intĂ©rieur du pays.

Dans son discours, le ministre de la SĂ©curitĂ© et de la Protection civile a indiquĂ© que la construction d’un nouveau siĂšge marque un autre chapitre de leur long et lĂ©gitime engagement dans la rĂ©alisation d’infrastructures modernes, engagement dĂ©butĂ© il y a trois ans dans le but de crĂ©er un meilleur cadre de travail : « tout cela dĂ©coule de la volontĂ© irrĂ©versible et dĂ©terminĂ©e du PrĂ©sident de la RĂ©publique », a-t-il ajoutĂ©.

Il a ensuite rappelĂ© qu’à ce jour, le dĂ©partement compte plus de 14 infrastructures rĂ©alisĂ©es et Ă©quipĂ©es Ă  travers toute l’étendue du territoire. Il a prĂ©cisĂ© que c’est la toute premiĂšre fois depuis 1958 qu’un bĂątiment sera conçu et dĂ©diĂ© spĂ©cialement pour servir de siĂšge au ministĂšre de la SĂ©curitĂ©.

Le Premier ministre a notĂ© que la question de refondation de l’État se dĂ©cline Ă  travers la restauration de l’autoritĂ© publique par des symboles visibles et des siĂšges d’institutions rĂ©publicaines : « cela montre le souci du President de la RĂ©publique, d’inscrire son action dans le prĂ©sent et le futur ».

Poursuivant, il a mentionnĂ© que le monde a beaucoup Ă©voluĂ©. C’est pourquoi il est nĂ©cessaire que la police se renouvelle, s’adapte et se projette vers les dĂ©cennies futures : « pas longtemps nous rentrions dans les hangars pour faire nos passeports. Nous n’étions pas fiers
 », a-t-il rappelĂ©.

Pour finir, il a demandĂ© Ă  chacun de veiller sur les travaux afin qu’au bout de 12 mois, l’édifice qui sortira de terre permette d’ĂȘtre fier des services de police et de l’image que cela confĂ©rera aussi bien aux institutions qu’à nous-mĂȘmes ».